
Plongez dans l’obscurité avec Perturbator : Quand la violence devient divertissement !
27 mai 2025 0 Par Erwan MeunierSalut les amis de la musique qui fait frissonner ! Chez Warm TV, on est ravis de vous annoncer une nouvelle qui va vous faire trépigner d’impatience (ou de terreur, c’est selon). L’agence Singularités, avec qui nous collaborons depuis de longues années maintenant, renforce son partenariat avec le maître des ténèbres sonores, j’ai nommé Perturbator ! Après l’Olympia en 2022, l’agence remet le couvert pour les relations presse de son futur album.
Si vous avez hiberné ces dernières semaines, pas de panique, on vous met à jour. Perturbator, fraîchement signé chez l’illustre Nuclear Blast (oui, ça rigole pas), a lâché il y a peu un pavé dans la mare : son nouveau single, « The Art Of War« . Et attention, c’est du lourd, du très lourd. Ce titre, c’est la première vraie nouveauté depuis 2021 et son album Lustful Sacraments. Et il confirme une chose : James « Perturbator » Kent ne fait décidément rien comme les autres.
The Art of War – Official Music Video
Le bonhomme, c’est un peu le croque-mitaine de la dark-synth. Là où certains se sont contentés de faire de la synthwave mignonne et pleine de paillettes, Perturbator a sorti la tronçonneuse. Il a défoncé la nostalgie à grands coups de beats pour laisser un champ de ruines sonores. Et sur « The Art Of War« , il continue de nous surprendre. Il nous explique d’ailleurs que c’est le morceau le plus « EBM » du futur album, et qu’il explore notre étrange capacité à transformer la violence en grand spectacle, à la consommer comme un vulgaire divertissement. Charmant, n’est-ce pas ?
Pour ceux qui aiment les faits divers et les dates, Perturbator, c’est une histoire qui commence en 2012. Des titres comme Night Driving Avenger ou I Am the Night l’ont propulsé sur le devant de la scène rétro-électronique. On l’a comparé à des légendes comme John Carpenter ou Goblin, mais James avait déjà d’autres plans pour nous. En 2014, Dangerous Days marque un tournant, un chef-d’œuvre magnétique et sombre. En 2016, The Uncanny Valley enfonce le clou, se frayant un chemin jusqu’aux classements Billboard en explorant des sonorités encore plus sombres.
Dangerous Days marque un tournant…
Mais le diable ne dort jamais. En 2017, New Model est un coup de poker audacieux. Adieu les références pop culture, la nostalgie fluo et les soirées « Retour vers le Futur ». Perturbator a pris un virage à 180 degrés, s’inspirant de Kraftwerk pour la froideur, de Nine Inch Nails pour l’intensité et de Lorn pour les ambiances claustrophobiques. Il était bien décidé à briser les attentes d’un public qui s’attendait à du confort rétro. Sale gosse !
si la violence est un divertissement, autant qu’elle soit bien faite !
Et avec Lustful Sacraments (2021), Perturbator a enfoncé le clou de sa réputation d’artiste visionnaire. Il explore sans concession la décadence inévitable de l’humanité. Musicalement, c’est un cocktail explosif des esthétiques sombres des années 80 et 90, avec des textures électroniques suffocantes et une production d’une précision chirurgicale. Autant dire que ça ne rigole pas avec les sentiments.

Après deux ans à sillonner la planète et à semer le chaos sonore, Perturbator est prêt à faire de 2025 une année inoubliable. Et n’oubliez pas, si la violence est un divertissement, autant qu’elle soit bien faite !
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