Mes 10 Albums : Oona

Mes 10 Albums : Oona

3 septembre 2020 0 Par Erwan Meunier

J’ai demandé à chaque membre de la team Warm de me faire son : Mes 10 albums.
Les 10 albums les plus marquants pour chacun d’eux à ce jour. Parce qu’au delà d’une tronche sur un trombinoscope, d’une signature d’article ou d’un crédit photo, nous sommes avant tout une équipe dans toute sa diversité.

et Long Life Warm TV !

Michel Polnareff – Live At The Roxy

1)      Michel Polnareff – Live At The Roxy

Sorti l’année de ma naissance, c’est le premier album physique que l’on m’a offert. Polnareff tient une place particulière dans mon cœur car c’était le premier concert de ma vie en 2007 dans un Bercy blindé, et probablement un des rares artistes sur lequel on s’accorde avec mes parents. Et quoi qu’on pense de l’artiste ou la variété française, ça reste un putain de showman.

Nightwish – Dark Passion Play (2007)

2)      Nightwish – Dark Passion Play (2007)

Alors, cet album est en haut de liste pour une raison très simple : c’est celui qui m’a ouvert les portes du « Metal », sur les recommandations d’un camarade de classe. Pianiste, chanteuse lyrique et ayant baigné dans la « musique savante occidentale » depuis aussi loin que je me souviens, c’est tout naturellement que j’accroche énormément à une version plus épique. Le passage de Nightwish au Zénith le 6 avril 2008 fut également mon premier concert du genre, et m’a permis de découvrir le groupe qui suit.

Pain – Cynic Paradise

3)      Pain – Cynic Paradise

Pain n’aura joué qu’une demi-heure en ouverture de Nightwish, c’est court, certes, mais ça aura été suffisant pour que je réécoute l’album en entier une fois rentrée chez moi. Après le Death Symphonique, me voilà mettant un pied dans le Metal Industriel. Vous vous en doutez, la suite logique fut Rammstein, Eisbrecher, Combichrist

4)      Scorpions – Blackout et Crazy World

Je fais un petit 2-en-1 car je les ai découverts en même temps et m’ont autant marqué l’un que l’autre. La discographie globale de ce groupe est juste folle. De Lonesome Crow à Unbreakable, qui était leur dernier album studio en date à l’époque en passant par Virgin Killer, c’est essentiellement sur To Be With You In Heaven et When The Smoke Is Going Down que ma mère m’a transmis son amour pour Scorpions.

In Flames – Come Clarity

5)      In Flames – Come Clarity

Quand la culture musicale des parents ne suffit plus, il faut explorer de nouveaux horizons. Et quel meilleur moyen de découvrir des choses qu’en se perdant volontairement sur les internet ? Eh bah, c’est ce que j’ai fait. J’ai cherché tous les groupes de Metal classés par ordre alphabétique et par sous genre, puis j’ai cliqué sur les noms qui me parlaient. Aussi simple que ça.
In Flames venait de sortir Deliver Us en single (2011, oui, j’ai forgé ma culture tardivement), ce fut un coup de cœur instantané. Mais. La richesse de Come Clarity et sa puissance presque cathartique étaient ce dont j’avais besoin à ce moment de ma vie.

Katatonia – Night Is The New Day

6)      Katatonia – Night Is The New Day

Sûrement un de mes all time favorite, celui-là. C’est sombre, mélancolique, froid, poétique, aérien par moment… Et le chant de Jonas Renkse venait en direct contraste avec celui d’Anders Fridén, que je découvrais plus ou moins au même moment.

TesseracT – Polaris

7)     TesseracT – Polaris

Polaris a été ma porte d’entrée pour le Djent.
Entre le jeu d’Amos Williams et la voix de Daniel Tompkins, ai-je vraiment besoin d’épiloguer ?

Novelists – Noir

8)      Novelists – Noir

Un peu comme In Flames, c’est en errant hasardement sur le net que je suis tombée sur Noir. Les titres en français ont attisé ma curiosité, mais la voix très versatile de Mattéo a su retenir mon attention. De plus, les textes m’ont beaucoup parlé, encore maintenant.

VII – Les Matins Sous La Lune

9)      VII – Les Matins Sous La Lune

Parce que j’ai l’impression que la scène Rap française manque cruellement de plume engagée comme la sienne.

The Vintage Caravan – Voyage

10)   The Vintage Caravan – Voyage

Pour ceux qui ont tenu jusque là, on va finir sur une envie d’évasion: des p’tits gars de mon âge représentant l’Islande avec brio que j’ai suivis dès leurs débuts. Un album qui respire le Rock gras des années 80 teinté de Stoner et le road trip sous un ciel orangé. Vous voyez ?

Qui sera le prochain dans Mes 10 albums ?